Manipulation & sensualité pour chasser [pv Anya]]

Je m'accoudai au bar et fixai voluptueusement la jeune femme qui s'acharnait à servir les gens. Ils formaient tous une ligne plus ou moins brisée et quelques uns dépassaient les autres, faute de patience. Je trouvai ça puéril de se bousculer pour une telle idiotie; que cela prenne deux minutes ou dix, ils allaient tout de même avoir leur bière avec le beau sourire séducteur de la barmaid. Contrairement à moi qui, sans effort, me ferai servir avant eux.

-Elle ne viendra pas te servir avant les autres, si c'est ce que tu veux.

La femme un peu plus âgée qui s'occupait de la deuxième partie du bar avait crié ses mots pour enterrer la musique. Je ne pu m'empêcher de sourire ironiquement; qu'elle ai crié ou murmuré je l'aurais entendu malgré moi. Et puis, je ne voulais pas simplement que la jeune femme vienne me servir, je le désirais - grande différence. J'usais souvent de mon charme et de mes atouts séducteurs acquis avec ma transformation d'autrefois, afin d'obtenir ce que je désirais, ce qui me fesait envie par dessus tout. Cette fois, c'était la jeune barmaid fort jolie que je convoitais et je savais qu'elle allait m'obéir au doigt et à l'oeil sans sourciller.

C'est le soupir vulgaire de la femme un peu plus âgée qui attira l'attention de ma proie. Celle-ci glissa ses yeux hagards sur moi et ce fut le commencement de ma chasse, de mon repas. Épris de mon regard hypnotisant, elle délaissa ses clients et avança mielleusement vers moi. Elle arrêta sa démarche alléchante devant moi, chassant sa coéquipièrequi se contenta de me fusiller des yeux.

-Qu'est-ce qui te ferais plaisir, mon cher? souria-t-elle en me courtisant.

J'esquisai un sourire, satisfait de mon emprise sur cette humaine. Tout était si facile! J'imaginais déjà ma langue lécher goulumant son coup tendu par la peur, mes dents d'ivoire déchirer tendrement sa chair et son sang frais couler dans ma gorge. L'extase s'emparra de moi, sachant très bien que c'est ce qu'il se passerait d'ici quelques heures, lorsqu'elle accepterai de venir chez moi apès son chiffre. Je léchai mes lèvres froide et perçai le regard inquisiteur de la barmaid.

-Apporte-moi un martini, ma belle, lançais-je d'une voix séduisante.

Alors que je fixais la délicieuse demoiselle préparer mon martini sans presse, mes narines captèrent, parmis les centaines de parfums qui flottaient dans l'air, un odeur qui m'était famillière. Elle me titillait et s'approchait de moi, agaçante. Essayant d'oublier pour le moment cet intrusion sur mon territoir de chasse, je déversai mon charme sur la barmaid qui tendait mon martini devant moi. N'osant même pas y boire une gorgée, je lui tendis un billet de dix dollars.

-Garde la monnaie, chérie.

Alors qu'un sourire commençait à naître sur ses lèvres, ses yeux se détachèrent de mon regard manipulateur et glissa par-dessus mon épaule. Une main se posa au côté de mon coup et je n'hésitai même pas à me retourner pour voir le visage de cet inconnu qui interrompait ma chasse.

Un peut plus tôt se matin la :
Je m’étais lever se matin la avec une envie étrange, une envie que je n’avais pas eu depuis long temps, une envie surprenante celle de sortir en ville me détendre. J’avais chassé tout la martiner pour ne pas avoir la dalle juste avant de partir, ses pas comme si je pouvais me stopper en chemin pour casser la croute. Enfin après une bonne douche j’avais enfilé mon top blanc favori ainsi que mes pantalon de couleurs identique et une ceinture noir, rien de mieux pour jouer les femmes fatale se soir la. J’avais pris soins de modifier mes phéromones et bien oui je pouvais en sécréter plus que la plus par des femmes et les changer a ma guise pour prendre l’odeur qui me semblais la plus convenable. Se soir la j’avais opté pour une odeur humaine qui tirais sur la vanille et la fraise. Je m’étais tout bonnement brosser les dents qui soient disant que je trouvais magnifique tous aligné les une contre les autres sans tacher d’un blanc éclatant. J’aime le blanc ses évidant. J’avais passée le reste de l’après midi avec Mélinda- c’elles me ressemblent le plus -, a me pomponner, et discuter comme des gamine de douze ans. Puis finalement le moment venue je sortis prendre ma voiture, j’hésitai un moment –la rouge ou la blanche. Enfin j’enfonçai l’accélérateur de ma bagnole blanche un BMW décapotable la classe.

Maintenant :
Lors que j’arrivai, je ne pu trainer une secondes de plus. Claquant document la portière derrière moi je me dirigeai vers celle du club. J’enfonçai la porte d’une seule main et ne trainas pas pour autant.

"Oups!" M’exclamai-je lors que tous les regards se tournaient dans ma direction.

Je ne pus que sourire narquoisement avant de me diriger d’un pas de tigresse vers le comptoir pour me commander un verre. Un joli jeune homme se trouvais déjà la et il semblait drôlement attirer par la serveuse. De mon avis s’était le plus mignon. Je ne pus me retenir de m’approcher de lui et de lui mettre ma mains gauche sur l’épaule juste avant de me faufiler a ses côter pour commander à la serveuse.

"Wiski pure malt, sur glace."

La serveuse sembla être offusquer de ma demande, a vue d’œil elle ne voulait pas être déranger mais si elle ne le fessait pas elle savait très bien de quoi j’étais capable. Je lui avais quand même déjà cassé la figure.

"Excuse-moi de t’enlever ton jouet , mais j’avais soif." Je ne fis que sourire.

Pourquoi plus? Lors que la serveuse revint je lui tendis un billet de 20 dollars. Rapidement elle comprit ce que je voulais, qu’elle s’efface. J’avais envie de jouer se soir et elle m’importunait. Je tournai la tête vers l’homme a ma gauche et plongeas mes yeux dans les sien. Je n’en vis pas la couleur de ses iris en raison du noir obscure qui se trouvait sur place. J’aurais pu mais ma pupille aurais tourné verticalement et trop d’interrogations s’en serais suivit. Par contre je savais très bien que les miens était vert, et d’un vert visible et se même a la noirceur. Une fois les yeux plonger sur interlocuteur de gauche je bue mon verre d’une seul gorgée, et lui fit un magnifique sourire.

"Désoler, de vous avoir déranger!"

-Wiski pure malt, sur glace.Excuse-moi de t’enlever ton jouet , mais j’avais soif, ajouta-t-elle en me lança un simple sourire dénué de sentiment quelconque.

Je crispai la mâchoire en décortiquant son visage d'ange, mais je me détendis en sachant très bien que la serveuse ne démorderait pas de moi, d'un mannequin aux traits de dieux. Je ne détournai pas mon regard de l'inconnue à ma droite et ajustai la cravate de mon complet noir à fine rayures blanches. L'odeur qui m'avait attiré quelques minutes au paravant émanait d'elle; un vampire parmis une foulle humaine. Comme ça, je n'étais pas le seul assassin à chasser au bar? Je fus un peu décontenancé que mon terrain soit occupé par une femme, mais un peu de compagnie ne tuait personne. Enfin, si ce n'était que pour se soir.

Lorsque la jeune serveuse revint, elle prit le billet de vingt dollars que lui tendait l'inconnue. Décidément, ce vampire voulait qu'on nous fiche la paix. Curieux de savoir ce qu'elle attendait de moi, je plongeai mes yeux dans les siens. Le vert flamboyant qui régnait dans ses iris était époustoufflant, mais je ne laissai rien parraître de mon ébranlement. Je savais que de son côté, elle devait sûrement voir mes yeux bleus translucides de plus en plus mêlés à un rouge bourgogne qui indiquait ma soif grandissante. Pourtant, si elle le remarqua, elle n'en fît rien parraître.

Soudain, elle prit délicatement son verre et le bue d'un trait. Je retint une grimace à sa place; comment pouvait-elle boire une chose qui devait, pour elle, goûter la cendre? Pour ma part, mon martini n'était qu'une couverture pour ressembler aux humains normaux. Jamais je n'aurais le culot de le boire au complet, sinon en fesant de piètres grimaces à la fin de mon verre.

-Désolée, de vous avoir dérangé!

Je la regardai m'adresser un superbe sourire, mais je n'en fis pas autant pour elle. Je me contentai d'étirer mes lèvres en coin et lui jetai un regard suspicieux.

-Je ne t'ai jamais vu ici, dis-je sûrement, à l'affut des signes. J'espère que tu ne comptes pas chasser ici à tous les soirs.

Je la fixai intensément afin qu'elle comprenne que ce bar était mon terrain de chasse et que je ne lui cèderai pas si facilement. J'aimais beaucoup trop me sentir humain au beau milieu de cette foulle de jeunes adultes qui buvaient leurs passés ou leurs sentiments. Lorsque je dansais, je me sentais revivre, lorsque je draguais, je me sentais éternel et lorsque j'attaquai à la noirceur des ruelles, je me rappelai avec ivresse que j'étais un être unique.

Anya avais remarqué depuis le tout début ses petit yeux qui démontrais une soif grandissante, mais rien, mais vraiment riens de troublant. Elle avait enfilé son Wiski comme si de rien n’était, le gout de terre que lui procurais se nectar, équivalais de boire le sang d’un impure t’elle que lui. Parce que oui Anya buvais le sang des les vampires qu’elle combattait juste avant de les décapiter, et sa par pur instinct de chasse. Elle fit pivoter son banc :

-Je ne t'ai jamais vu ici, dis-il, à l'affut du moindre de ses geste. J'espère que tu ne comptes pas chasser ici à tous les soirs.

Elle prit appui sur ses genoux pour lui murmurer quelques petits mots à l’oreille.

"Tes encore novice! Ses pas ici que tu va chasser se soir."

Il avait lui-même vendue la mèche. Il ne se doutait certainement pas qu’Anya chassait ceux de sa race du moins ceux qui buvais le sang chaud, des innocent. Elle finit par se retourner activant encore ses phéromone de façons a ce qu’il ne puisse résister a le humer et même a la suivre si elle partais.

"Morte la bête, mort le venin! " Murmuras t’elle pour elle-même. Puis d’une voix plus sur elle dit : "Tu sais quelle prédateur est le plus dangereux… Tu savais qu’il peut boire n’importe qu’elle sang."

Elle plongea ses yeux dans ceux de son interlocuteur. Il était finit. A présent il n’était plus qu’un jouet sur le point de connaître la rage d’une femme.

Novice, moi? Je me retins d'éclater d'un rire puissant et hargneux, mais ne puis emprisonner plus longtemps mon sourire ironique. Pour qui ce vampire se prenait-il? Certes, je n'étais âgé que de 126 ans, mais c'était toujours mieux que ces nouveaux nés qui fracassaient tout sur leur passage. De toute manière, chaque être avait sa propre façon de tuer leur proie et pour ma part, c'était dabord en les aveuglant de sensualité. Nous autres, vampires, avions étés créés pour charmer de fond en comble les humains; notre voix, notre corps et notre énergie. Tout était fait pour manipuler les humains afin de les chasser plus facilement, de les attirer vers la mort avec nous. J'aurais trouvé dommage de ne pas me servir de tous ces atouts personelles.

Guettant les moindres mouvements de l'inconnue, je la vis se tourner de trente degré vers la droite. Néanmoins, j'eus le temps de déchiffrer l'expression sur son visage; un sourire narquois, un regard satisfait, des traits détendus. Je passai distraitement une main dans mes cheveus lorsqu'une odeur indescriptible vint caresser mes narines. Ce parfum désirable me fesait vaguement pensé à ce que je captais des femmes, avant même ma transformation en vampire. Une odeur qui aurait due être subtile plutôt qu'envahissante, une senteur qui attirait sans exeption les hommes. Avant même que je pus réagir d'une quelconque manière, l'inspiration qui enfermait cet air enchanteur pénétra en moi comme le venin d'un serpent. Je cachai de moitié mon visage de ma main droite en rassemblant tout mon contrôle, tout mon bon sens qui me restait. J'entrevis la jeune serveuse, ma proie de se soir, m'adresser une faible sourire qu'ele voulue sûrement sexy, mais l'inquiétude s'y dégageait.

-Morte la bête, mort le venin! Tu sais quelle prédateur est le plus dangereux… Tu savais qu’il peut boire n’importe qu’elle sang.

Je tournai mon regard de meurtrier sur sa personne, ne comprennant fichtrement rien de ce qu'elle me racontait. Les seuls mots que j'avais bien voulu retenir était « morte» et «venin». Cette diablesse m'empoisonnai avec une odeur qu'elle dégageait, j'en étais certain! Malheureusement, j'étais hors d'état pour penser à me lever, bien droit, et de me diriger vers la sortie. Tout ce qui me restait à faire était d'essayer de la percer à jour, de comprendre ce qu'elle espérait de moi en me droguant.

-J'ai compris ton manège, murmurais-je en sachant très bien qu'elle comprendrait sous la musique. Tu peux arrêter l'utilisation de ta particularité, maintenant? Ça me fait plutôt tourner la tête d'une manière agaçante.

Je plongeai mes yeux qui ternissais de plus en plus, je le sentais, dans ceux verts éclatants de... mon ennemi? Si je ne me nourissais pas se soir, je resterai trop faible pour chasser par la suite. Je devais absoluement avoir la gorge d'une jeune femme à la porté de la main cette nuit.

-Qui es-tu pour m'hypnotiser de la sorte? Un vampire en quête de vangeance? ajoutais-je d'un rire saccadé.

» Anya Green
» De l'aide pour mon premier rp? ^_^
» Site pour avatars 200X320
» Et si... non, il n'y a pas de mots pour cela [pv Jacob]
» Scéna pour faire avancer le fofo